Lexical Guessing in Context in EFL Reading Comprehension

Research output: Contribution to journalArticlepeer-review

Abstract

No one really knows to what extent students use context in guessing the meaning of new words. Some teachers of advanced learners of EFL (English as a foreign language) prefer to expose students to new words in context, hoping students will acquire the vocabulary through contextual clues; whereas others explicitly teach and drill vocabulary. The present study asks whether some types of words are more easily guessed than others, and also whether better students use context more effectively than weaker students do in guessing unknown words. Most importantly, to what extent does context help in guessing, if at all? Sixty first‐year students were given a list of 70 words to translate into the mother tongue. A week later, each student was given a copy of the same word list but with the addition of a text containing all the words. An analysis of student answering patterns showed that context helped lexical guessing in only 13 per cent of the responses for only 24 per cent of the words. Word guessability was shown to be less a function of using the context than of applying‘preconceived notions'. Most frequent errors were with polysemes, morphological troublemakers, idioms and synophones. Although more proficient students knew more words than less proficient students, they were not able to use context more effectively. Deviner le vocabulaire en contexte: jusqu'à quel point est‐ce gue les étudiants emploient du contexte en devinant le sens des mots? Nul ne sait effectivement jusqu'à quel point les étudiants se servent du contexte pour deviner le sens des mots qu'ils rencontrent pour la premiére fois. A I'égard des étudiants avancés dans l'acquisition de l'anglais comme langue érangére, certains professeurs font apprendre le vocabulaire d'une maniére explicite et formelle, tandis que d'autres professeurs préférent présenter des mots nouveaux dans un contexte, en espérant que le vocabulaire sera appris à partir des indices contextuels. Cette étude s'occupe des questions suivantes: le contexte. Jusqu'à quel point le contexte peut‐il aider à faire des conjectures relatives au lexique? la‘devinabilite’d'un mot. Jusqu'à quel point existe‐t‐il des mots (ou des catégories de mots) qu'on peut deviner plus vite en contexte que d'autres? le niveau de l'étudiant. Jusqu'à quel point les étudiants experimentes (i.e., de‘bons’étudiants selon l'echelle de compréhension du lexique EFL) sont‐ils plus efficaces dans l'emploi due contexte pour deviner des mots peu familiers que les étudiants peu compétents (les lecteurs‘faibles’du EFL). On a demandéà 60 enfants en premiére année d'étude de traduire une liste de 70 mots dans leur langue maternelle. Une semaine plus tard, on a donnéà chaque étudiant la même liste de mots, à laquelle on avait ajouté un texte comportant tous les mots. Une analyse des erreurs faites par les étudiants a montré que le contexte n'a aidéà effectuer des conjectures sur le lexique que pour 24 pour cent des mots, ce qui n'a pas contribuéà faciliter réellement la compréhension de la lecture. Pour le 76 pour cent des mots qui restent, le contexte était peu efficace, soit parce que les signes n'existaient pas, soit parce que les étudiants ne pouvaient pas en profiter. La‘devinabilité’des mots s'est présentée en premier lieu comme l'attribution à un mot ou une phrase d'‘idées préconques'souvent mal fondées et n'ayant pas de sens dans le contexte corréspondent. Par ordre de fréquence décroissante, les cinq facteurs intervenant pour deviner les mots sur la base d'‘idées préconçues’étaient: le mauvais choix du sens d'un polyséme, la traduction inexacte d'une rebelle morphologique, la traduction inexacte d'un mot idiomatique, la confusion avec un homophone, la confusion avec un mot apparente. Lá oú les‘idees préconques’n'ont pas aidé l'étudiant nous avons remarqué qu'il a essayé d'employer des indices contextuels pour deviner—mais, en général, sans grand succés. Pour ce qui concerne le niveau des étudiants, dans ce travail, la compétence individuelle ne s'est pas montrée susceptible d'influencer la capacité de deviner des mots peu familiers. Tous les étudiants qu'ils fûssent mauvais, moyens et bons ont mis en pratique la même stratégie: passer sous silence les mots inconnus, employer les‘idées préconçues', se hasarder des conjectures extrêmes et, en dernier ressort, employer des indices morphologiques et contextuels. II apparaît que, même si de meilleurs étudiants possèdent d'amblée un vocabulaire plus large, ils ne devinent pas de mots différemment ni plus souvent que des étudiants de niveau inférieur. Les principales conclusions à tirer de ces résultats semblent les suivants: 1. Confier au hasard ou aux étudiants eux‐mêmes l'apprentissage du vocabulaire n'est pas une solution idéale. 2. Les enseignants devraient aider les etudiants à développer leur capacité de tirer profit des indices contextuels. 3. On ne saurait la nécessité d'enseigner et d'étudier directement le vocabulaire. En augmentant le nombre de mots qu'il comprend, l'étudiant dispose d'un contexte plus étendu qui lui perment de deviner avec plus de facilité le des mots inconnues. 4. Il serait opportune de prévenir les étudiants de l'existence des‘idées préconçues', pour les aider à compter moins sur ces idées trompeuses et plus sur le contexcte.

Original languageEnglish
Pages (from-to)15-32
Number of pages18
JournalJournal of Research in Reading
Volume7
Issue number1
DOIs
StatePublished - Feb 1984

ASJC Scopus subject areas

  • Education
  • Developmental and Educational Psychology
  • Psychology (miscellaneous)

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